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 « I have an allergic reaction when I see you » JAZZ & HERMES

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Hermès T. Revenge
Bienvenue à Baltimore
Hermès T. Revenge

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MessageSujet: « I have an allergic reaction when I see you » JAZZ & HERMES    « I have an allergic reaction when I see you » JAZZ & HERMES  I_icon_minitimeMar 17 Avr - 12:21

    JAZZ - « Je te fais confiance... »

    Le mensonge, l'énoncé délibéré d'un fait contraire à la vérité, ou encore la dissimulation de la vérité, signée Wikipedia. Toujours selon ce dictionnaire en ligne, il existe plusieurs types de mensonges. Avant, Hermès considérait le mensonge comme un vice, et pêché à part entière. Pas qu’Hermès ne soit croyant dans une religion quelques qu'elle soit, mais il pensait, du moins plus jeune, que les hommes naissent bons et que c'était surtout la société qui les pervertissaient. S'il existe des mensonges, c'est qu'il existe des gens mal dans leur peau, soit qui aime faire du mal aux autres, et se sentir puissant à réussir à leur cacher la vérité. Il considérait le mensonge comme une arme très puissante mais totalement déloyale et injuste. Il trouvait que le mensonge finalement, cela a beau être une arme imparable, c'était aussi un acte "petit" et de gamin, lorsqu'on ne veut pas récolter une punition ou se faire réprimander. Il représentait tout ce qu'il haïssait au plus haut point possible : la bassesse, hypocrisie, fausse gentillesse ou simple cruauté. Les gens ne sont pas foutus d'assumer leur lâcheté et préfère se défiler derrière de belles paroles. Les rares fois où il tentait de de mentir, souvent pris par surprise ou quelques peu désarçonné, le sentiment de culpabilité lui revenait alors en pleine figure comme un uppercut. Étant donné qu'il n'était pas spécialement un fana de boxe ou dans un trip sado-maso, il avait alors préféré rentrer dans une spirale d'épanouissement personnel, ou il disait tout d'un ton franc et honnête. Au quotidien, cela pouvait lui paraître parfois bien dur, mais il n'éprouvait jamais de regrets. Le mensonge est un soi quelque chose de malsain et assez paradoxal, certains gens sont bien mythomanes, c'est tout simplement car il n'arrive plus à sortir de la spirale vicieuse dans laquelle ils sont rentrés, et tout finit par leur retomber sur la gueule un jour ou l'autre alors. En un mot, le mensonge était une drogue à ses yeux, mais qui ne possédait que des effets nocifs. Désormais, tout avait bien changé depuis qu'il était sorti de sa dépression et que la société avait lui aussi finit par le pervertir. Maintenant, aux yeux d’Hermès, les mensonges qu'ils avaient proférés ces derniers temps s'apparentaient à un mélange entre le mensonge officieux, celui qu'on fait à soi même, comme pour se rassurer ou se rendre service, et le mensonge blanc, qui vise à ne pas heurter les sentiments de la "victime" de notre mensonge. Il considère actuellement le mensonge juste comme une "trappe" de sortie, face à ses perpétuels doutes d'indécis et sa lâcheté, son égoïsme aussi quelques part. Il avait lâché la franchise, sa plus grande qualité, au bénéfice de sa lâcheté, son plus grand défaut.

    Il s'était ancré dans un cercle vicieux avec Jazz, ne pouvant se résoudre à avouer quoique soit, sous la quantité de conséquences catastrophiques et sanglantes probablement que cela entraînerait. En effet, s’il lui avouer qu’il n’était qu’un monstre capable de s’initier dans ses rêves, elle l’aurait surement pris pour un psychopathe sadico-dépressive. C’est ainsi qu’Hermès avait été ainsi malgré lui, pourchassé par le destin et la tragédie de son existence, contraint à choisir entre dire la vérité, et ne rien dire, et pourtant, dans les deux cas, les conséquences seraient probablement les mêmes et toutes les deux affreusement douloureuses. Il avait été piégé dans un sacré dilemme typiquement racinien ou cornélien, qui faisait aussi probablement passer ces derniers pour de la pisse de chat à côté de lui maintenant. Il aurait pu s’enfuir et la laisser, faire taire ses sentiments et se contentait de vivre sa vie comme avant. Foutus sentiments. Et foutues femmes, aussi.

    Alors qu’on venait d’arriver, Jazz entre, fait un pas dans la maison et Hermès a déjà l'impression que c'est le pas de trop, le pas qui va le bouleverser. Se grattant les cheveux nerveusement, il sait pas vraiment quoi dire et avant de péter un câble et se jeter à son cou comme tout son corps le presse de le faire, il finit par dire : « J'vais juste passer aux toilettes, mais hésites pas à te mettre à l'aise et te servir un verre, je reviens. » Hermès fais quelques pas nerveusement vers les toilettes se trouvant dans la salle de bains pour attraper une serviette et se mettre à crier silencieusement dans la serviette qu'il mord à pleines dents de tous ses poumons alors qu'il ouvre l'eau pour faire du bruit. Putain mais qu’est ce j’ai foutu !
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A. Jazz Džeko
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A. Jazz Džeko

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MessageSujet: Re: « I have an allergic reaction when I see you » JAZZ & HERMES    « I have an allergic reaction when I see you » JAZZ & HERMES  I_icon_minitimeLun 14 Mai - 16:18


De la peur. Toujours présente. Plonger dans l'inconnue et tâtonner. Mais cette fois l'inconnue semblait plus calme, moins dangereux. Car, étrangement, auprès de lui, elle ressentait … une forme d’apaisement. Un apaisement qui, dans son monde, est une denrée forte précieuse et rare. Mais ce sentiment lui faisait peur aussi, ça déclenche un cercle vicieux qui l'énerve, l’exaspère. Ce qui l'énerve encore plus etc. Un cercle vicieux de plus, elle n'est plus à un près.

Dans le noir permanent qui l'environne, qui l'enveloppe, quelque chose semblait changé. Elle l'avait vu, lui, dans ses rêves. Elle avait vu son visage, son corps. Elle voyait à quoi il ressemblait, elle voyait qui il était. Et pas juste une image créer, pas juste un ressentit et un toucher. Elle savait à quoi il ressemblait, exactement, avec précision. C'était une première depuis que le noir avait pris possession des couleurs. Et ça la chamboulait. Pourquoi lui ? comment se fait-il qu'il était dans ses rêves ? Comment se fait-il qu'il est autant de pouvoir sur elle ? Y avait un truc, quelque chose, d'inexplicable. Et l’inexplicable elle n'aime pas, pourtant elle s'est lancée. Lancée tête la première, une première. Parce qu'il y avait quelque chose de rassurant, de l'espoir, peut être.

Mais cet espoir ce tord, il est parti. Etait-elle allait trop loin ? Elle se mordille la lèvre inférieure. Elle regrette. Regret de, peut être allée trop loin. Toujours rejeter la faute sur elle, mécanisme habituelle. La peur augmente. Nerveusement, elle se tripotte les mains. Elle se colle au mur, c'est rassurant. Mais ce serait encore plus rassurant si c'était lui. Des secondes. Quelques petites minutes. Courage apparaît, fièrement et vient a la pousser à s’approcher de la porte. Optimisme se ramène aussi. A eux deux ils font pencher la balance. Elle se lance. Deux petits coups à la porte, pour se signaler.

Un raclement de gorge, une grande inspiration et elle se lance, sans filles. la confiance c'est pas mon truc. dans le noir on apprend a se débrouiller seule, à tâtonner. pour la première fois depuis des années, j'ai vu. j'ai vu et pas seulement du noir. je t'ai vu. sans comprendre pourquoi ni comment, je me suis sentie rassurée, j'ai ressenti un truc, un truc indescriptible. et ça m'énerve parce que ce quelque chose prend de la place, trop de place à mon goût. et sans comprendre, je ... je ... bref. je voulais je ... les secondes filles, sa voix baisse. Voix teintée par une émotion qu'elle ne peut ré-freiner. Ce qui l'énerve, une chose de plus qui va dans la catégorie d'énervement.

mais je peux partir. partir. j'ai peur, je peux comprendre que tu ais peur. alors je peux partir, aussi vite que je suis venue ... c'est ... c'est à toi de choisir. Sa voix s’enraille. [i]euh mais comment j'vais rentrer ? arrh arrête d'être si terre à terre, attend et puis qui vivra verra.[/color] Elle se décolle du mur, doucement elle trouve de quoi s'asseoir, tatonant, les mains devant elle. Elle s'assoit, caresse l'assise, mais rapidement elle a besoin de se distraire. Pour faire taire ou au mieux calmé sa voix dans sa tête. Cette fichu voix qui n'arrête pas de parler, de critiquer. Alors son MP3 apparaît parfait pour la distraire. Quelques secondes plus tard la musique se lance. Un sourire se dessine sur son visage, ça va déjà un peu mieux... seulement un peu. Elle se détend légèrement et finit par fermer les yeux se laissant bercer par la musique.



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